Natalia Reyes Tejada réfléchit à la manière dont son premier travail de terrain sur l’agriculture urbaine irriguée à Maputo, au Mozambique, a conduit à accorder les questions et les méthodes de recherche de son projet de doctorat avec une approche féministe. Il apparaît qu’une perspective féministe, qui suppose une approche réflexive sur le processus de recherche, lui permet de mieux comprendre comment les discours dominants (re)produisent ou déconstruisent les relations de marginalité.
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