Le directeur de l’association des semenciers hollandais Plantum, a pris position sur les semences en open source dans son article Open Source Seed, a Revolution in Breeding or Yet Another Attack on the Breeder’s Exemption? . Pour lui, dans ma mesure où ces projets interdisent de mettre une protection sur une future obtention végétale, ils bloquent l’innovation variétale. En effet, selon lui, aucun semencier ne se lancera dans des dépenses pour mettre au point une nouvelle variété s’il ne peut la protéger ensuite.
A cette occasion, Inf’OGM republie un article qui clarifie les termes du débat entre les semences brevetées par les industries semencières, les « semences libres » proposées par des associations, à l’instar de Kokopelli en France, ou encore le « semences en open source » proposées notamment par l’ONG Agrecol : librement reproductibles, sans reversement de royalties.
Lire l’article d’Inf’OGM ici