Dans la perception des profanes, le coton est encore considéré comme la culture consommant le plus d’insecticides néfastes pour la santé et l’environnement. L’article revient dans le cas du Togo, sur une étude basée sur la reconstitution des séries de données des surfaces emblavées et d’insecticides distribués aux producteurs de coton de 1990 à 2010.
Au Togo, l’utilisation des insecticides dans la culture cotonnière a évolué dans une direction plus compatible avec le souci de la santé humaine et de la préservation de l’environnement. Une telle évolution devrait être extrapolable à tous les pays cotonniers de l’Afrique francophone où des études similaires mériteraient d’être réalisées.
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