En juillet 2012, l’économiste en chef de la Banque africaine de développement et vice-président pour l’Afrique, Mthuli Ncube, a averti qu’une « augmentation générale inquiétante des prix des céréales, alimentée par une grave sécheresse dans le Midwest américain », toucherait les pauvres du monde, notamment ceux d’Afrique. Il a laissé entendre que les effets seraient à la fois directs et indirects, avec une instabilité sociale potentielle minant les perspectives de croissance de l’Afrique.
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