Dans un contexte de croissance démographique, les producteurs de manioc au Togo n’ont guère plus que leurs champs d’agroforesterie pour subvenir à leurs besoins. Mais en unissant leurs forces, ils peuvent mobiliser de l’argent, partager les coûts, négocier de meilleurs prix et attirer des soutiens. A travers cet article, Duncan Macqueen – chercheur principal au sein du groupe de recherche sur les ressources naturelles de l’IIED – s’interroge sur la façon dont l’auto-organisation des producteurs de tapioca, soutient les solutions durables
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