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publié dans Ressources le 18 avril 2020

Analyse: Pourquoi les petits exploitants du Ghana ne sont pas enthousiasmés par la dernière «révolution verte»?

The Conversation

Nouvelle AllianceSecteur privé et développementGhanaAnalyse, synthèse

Au cours des 20 dernières années, un nouveau modèle de la Révolution verte est apparu principalement en Afrique subsaharienne dans lequel les entreprises agroalimentaires nationales et internationales occupent une place beaucoup plus importante. Cette version contemporaine de la Révolution verte est largement promue par l’Alliance pour une révolution verte en Afrique, la NASAN, la Banque mondiale, l’USAID, l’Union africaine, entre autres. Mais de nombreuses questions se posent quant à savoir si cette nouvelle révolution verte peut augmenter la production de manière à réduire la pauvreté et l’insécurité alimentaire. Cette analyse proposée par le journa en ligne “The conversation” se concentre sur les conséquences possibles, en particulier pour les petits exploitants agricoles à travers une étude de cas sur le nord du Ghana. Il en ressort que la grande majorité des petits agriculteurs adoptaient à contrecœur les nouvelles variétés de semences, d’engrais chimiques, de produits agrochimiques et de contrats agricoles promus dans le cadre de la Révolution verte. Beaucoup ont décrit cette décision comme un compromis à court terme pour maintenir les rendements nécessaires à la survie et ont également identifié de graves conséquences négatives de ces nouvelles pratiques agricoles.

Lire l’article ici

Consulter également la note sur le rôle du secteur privé dans les politiques agricoles et alimentaires réalisée par Inter-réseaux

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