Depuis les années 2000, l’appel du “secteur privé” pour moderniser les agricultures africaines s’est renforcé. En effet, le déficit commercial agricole du continent africain s’accroît. Des populations, rurales principalement, y souffrent d’extrême pauvreté et de sous-alimentation. La demande urbaine évolue rapidement en volume et en qualité. Les financements publics ne peuvent seuls répondre à ces enjeux. Dès lors, on considère que le secteur agro-alimentaire, de la production à la transformation représente donc des opportunités d’investissements pour les entreprises dont on espère qu’elles apporteront de nombreuses améliorations.
A ce titre, l’agriculture contractuelle est de plus en plus conçue comme un outil parmi d’autres de renforcement des filières agricoles, d’amélioration de la sécurité alimentaire et nutritionnelle et des revenus des producteurs.
