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Assurer la sécurité alimentaire, augmenter le revenu des agriculteurs et améliorer la compétitivité des productions agricoles en préservant les ressources naturelles: telles sont les orientations de l’aide française au monde rural sub-saharien qui absorbe annuellement, 11% des crédits du Fonds d’aide et de coopération, 24% des concours de l’Agence française de développement et bénéficie des ressources humaines de l’assistance technique.
Visant à promouvoir les potentialités de la sous-région, la Foire internationale agricole et des ressources qui s’est tenue du 6 au 19 décembre dernier à Dakar semble avoir réussi son premier pari.
Éditorial Susciter des débats, être attentif aux évolutions du terrain… Sur le terrain Vers un mouvement paysan ouest-africain Sylvia Serbin Les organisations de producteurs agricoles de 17 pays africains constituent un front commun pour promouvoir les positions du monde rural FIARA 2000: les paysans à la rencontre des distributeurs et des consommateurs Visant à promouvoir les potentialités de la sous région, la Foire internationale agricole et des ressources animales qui s’est tenue du 6 au 19 décembre dernier…
Quelle perception ses bénéficiaires ont-ils de l’aide au développement rural ? Comment évoluent les pratiques des institutions d’aide, L’aide tient-elle compte de la complexité des sociétés paysannes ? N’a-t-elle pas tendance à façonner l’agriculture africaine pour l’orienter vers une voie plutôt qu’une autre ? Autant de questions soulevées par le dossier spécial que vous propose ce numéro de Grain de sel.
Les États pourront-ils refuser l’importation de produits de l’agrobusiness supposés à risques ? La récente réunion de l’OMC sur l’abolition des frontières commerciales dans l’agriculture a ravivé la mobilisation contre les organismes génétiquement modifiées.
Poursuivant le débat sur l’aide au développement rural, Grain de sel vous présente un dossier spécial autour de réactions des responsables paysans africains, de cadres rejoignent des thèmes traités lors du séminaire du groupe de travail « Enjeux de l’aide », dont les travaux feront l’objet d’une synthèse à paraitre cet été. Un éclairage sur les orientations de quelques coopérations internationales en la matière complète ce dossier.
La crise de l’Aide peut-elle être endiguée? Dans un contexte de baisse des flux vers l’Afrique subsaharienne qui absorbe 40% de l’aide publique au développement, la lassitude diffuse des bailleurs de fonds fait échos aux frustrations de certains bénéficiaires quant aux réponses apportées à leurs besoins.
Le paysannat sera-t-il marginalisé au profit d’un entrepreneuriat agricole? Cette interrogation mobilise la réflexion de nombreux responsables africains.
Assurer la sécurité alimentaire, augmenter le revenu des agriculteurs et améliorer la compétitivité des productions agricoles en préservant les ressources naturelles: telles sont les orientations de l’aide française au monde rural sub-saharien qui absorbe annuellement, 11% des crédits du Fonds d’aide et de coopération, 24% des concours de l’Agence française de développement et bénéficie des ressources humaines de l’assistance technique.
Les organisations paysannes sur la scène du développement
Si l’appui aux organisations africaines fait l’objet d’un consensus, il recouvre des approches différenciées qui se sont pas sans incidence sur ce qui se passe sur le terrain. Ces OP devenant un enjeu (quelle politique d’appui va prévaloir dans tel ou tel site?), puis un marché (quels opérateurs vont être « élus » pour mettre en œuvre cette politique ?). A travers opportunités et compromis, les organisations paysannes s’efforcent de se frayer un chemin vers l’autonomie.
Pour ces paysannes sénégalaises, es métiers masculins se sont plus tabous. Elles ont quitté les champs pour devenir bouchères ou fabricantes de briques.
Dans un système en constant bouleversement, l’évolution des réalités est plus rapide que celle des idéologies et des institutions; D’où un fréquent décalage qui conduit à penser les problèmes de demain avec les idées d’hier et à les gérer avec les procédures et les institutions d’avant-hier.
Depuis un an, la Commission européenne s’est engagée dans la définition de sa nouvelle coopération vers le secteur rural. Si le développement rural procède d’une politique sectorielle prioritaire, spécialement pour ce qui est des pays les moins avancées, elle reste particulièrement complexe à formuler. Un éclairage de Luc Lefebvre, au cœur de ce processus.