La généralisation de la propriété foncière a été un des grands enjeux des colonisations européennes. Ces politiques ont été trop souvent pérennisées après les indépendances alors qu’à l’échelle locale se pratiquaient des rapports fonciers qui exprimaient la résilience des conceptions endogènes (“droit coutumier”).
La révolution des communs qui émerge à l’échelle mondiale depuis une vingtaine d’années offre l’opportunité non seulement de réconcilier les Africains avec leurs mémoires et leurs histoires mais aussi de proposer des ouvertures institutionnelles à la hauteur des défis du changement climatique et des autres transformations en cours dans le champ des institutions.
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