Le 1er mars, François Hollande clôturera les Assises du développement et de la solidarité internationale, processus de concertation organisé par le gouvernement et qui a réuni depuis quatre mois l’ensemble des acteurs du développement pour débattre des orientations de la politique française. Parmi eux: les acteurs publics français, les ONG et les organismes de recherche, bien sûr, mais également des acteurs plus récents dans le domaine du développement: les entreprises.
Greenwashing, confiance des Français en berne, opérations de communication douteuses, pratiques nuisibles socialement ou pour l’environnement… L’image de certaines entreprises questionne l’opinion sur leur capacité à agir dans l’intérêt général. Les entreprises peuvent-elles vraiment contribuer à la solidarité internationale?