Pour enrayer la propagation du COVID-19, le Burkina Faso, comme d’autres pays de la sous-région, a pris la décision de fermer certains marchés et “yaars” pour un mois à compter du 25 mars 2020. Dans cette note, l’Institut Free Afrik explique en quoi cette mesure est inadaptée et comporte des dangers. Elle risque de priver les populations, les plus vulnérables en particulier, d’approvisionnement. De plus, les marchés concentrent des activités lucratives de centaines de milliers de personnes qui ont ont besoin de poursuivre leur activité quotidiennement pour en tirer les ressources de la subsistance. L’article décrit ensuite des solutions alternatives pour éviter la rupture de l’approvisionnement des populations en produits de première nécessité dans la durée.
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