Les petits agriculteurs d’Afrique participent depuis longtemps aux marchés – pour vendre leur production, se procurer des intrants (des engrais par exemple), des crédits, de la main-d’oeuvre, des terres et des informations. L’urbanisation et l’amélioration des routes reliant les villages aux villes ne cessent de leur ouvrir de nouvelles possibilités. Dans un tel contexte, les questions relatives à la commercialisation paysanne méritent une attention accrue.