Au Niger, la plupart des ONG (organisations non gouvernementales) et des agences des Nations Unies s’accordent à dire que les acteurs humanitaires sont mieux préparés à répondre à la crise de sécurité alimentaire en 2010 qu’en 2005, mais certains disent qu’il existe un risque de répéter les mêmes erreurs en matière de partage de l’information, de planification de réponses adaptées, et de mobilisation rapide des fonds.