Depuis 1989, les populations mauritaniennes des régions de la vallée du Fleuve Sénégal sont régulièrement victimes de l’expropriation de leurs terres par des spéculateurs de multinationales de l’agro-business en dépit de leurs protestations. Hold-up qui hypothèque leur avenir. Cette sonnette d’alarme incessante du Forum National des organisations nationales de Défense des Droits Humains et des ONG internationales sur le terrain pointe du doigt l’échec de la politique agricole des gouvernements successifs et de l’immobilisme de la politique actuelle en faveur du règlement du passif humanitaire.