Au même titre que les services, l’agriculture est désormais délocalisée et les multinationales se partagent le butin des richesses du sous-sol. Les petits agriculteurs sont expulsés des terres qu’ils ont mises en valeur depuis plusieurs générations, après des accords menés en toute opacité. Qui doit-on ici mépriser le plus ? Le corrompu qui vend son pays, le prive de toute chance de développement, ou le corrupteur avide de richesses, indifférent au sort de la planète ?