« Les droits fonciers constituent le premier élément fondamental dans la voie de la réalisation de la sécurité alimentaire : sans consensus international quant à la façon dont les terres doivent être gérées, les intérêts des usagers les plus vulnérables continueront à être bafoués » a averti Olivier De Schutter, Rapporteur Spécial auprès des Nations Unies sur le droit à l’alimentation, à quelques jours du début de négociations décisives à Rome.
« La menace de ‘l’accaparement des terres’ nous a rappelé combien l’accès à la terre est essentiel pour 500 millions de ménages vivant en situation d’insécurité alimentaire dans le monde » a-t-il affirmé.