Acculé par la chute des cours des matières premières des années 80 et 90, ballotté par la libéralisation de la filière, sacrifié à l’autel de la diversification des cultures, le cacaoyer renaît. Avec le début de la commercialisation, à grande échelle, des fèves, ce mois fait de nouveau planer de grands espoirs dans les bassins de production.
Après avoir stagné autour de 100 000 tonnes depuis les années 60, la production a franchi la barre symbolique des 200 000 tonnes au cours de la précédente campagne.