Pour que le potentiel du commerce en tant que moteur du développement durable se matérialise en Afrique, il faudra s’attaquer à un défi considérable : l’importance des coûts du commerce sur le continent. Et s’il est vrai que la lourdeur des procédures douanières n’explique pas à elle seule ces coûts élevés, elle y contribue largement. Quels sont les impacts attendus de l’Accord sur la facilitation des échanges pour les pays africains ? Et comment ces derniers pourraient-ils accroître l’efficacité de leurs efforts de facilitation des échanges ? Cette édition de la revue Passerelles aborde ces questions.