En Afrique subsaharienne, en particulier dans le bassin du Congo, la culture itinérante serait à l’origine de la majorité des pertes importantes et récentes de couvert forestier dans la région. Dans cette nouvelle étude menée en République démocratique du Congo (RDC) par l’Université du Maryland montre que plus de pertes pourraient être associées à des utilisations commerciales des terres comme les plantations, l’exploitation minière ou l’exploitation forestière que ce que l’on pensait auparavant, potentiellement jusqu’à dix fois plus élevé que les rapports précédents.