Depuis le début des années 2000, un nouveau type d’entente contractuelle s’est développé rapidement en Côte d’Ivoire : le « planter-partager ». Grâce à un tel contrat, un propriétaire foncier fournit le terrain à un agriculteur qui développe une plantation pérenne ; lorsque la production commence, la plantation, la plantation et la terre, ou le produit est partagé.
Cet article discute des caractéristiques conflictuelles de cet arrangement. L’auteur soutient que ce contrat, en dépit de son potentiel de tensions et de conflits, constitue une alternative aux ventes de terrains beaucoup plus conflictuelles qui dominent actuellement les transferts de terres extra-familiales dans le pays.