Lundi dernier, le 17 octobre 2011, j’étais à Koubri. Là, j’ai rencontré une trentaine de paysans, pour réfléchir sur la dernière campagne agricole, et pour chercher ensemble des solutions pour dépendre moins de la pluviométrie. Les paysans se plaignaient que leur maïs n’avait pas réussi à cause du manque de pluies. Mais à la pause, l’un d’entre eux m’a dit que, lui, il ne se plaignait pas : son maïs avait très bien donné !