Au Burkina Faso, troisième exportateur africain de mangues, la cochenille farineuse a fait son apparition dans les régions du sud-ouest, laissant craindre une contamination des grands vergers du pays. Or, le secteur fait aujourd’hui vivre plus de 15 000 producteurs et transformateurs, pour un chiffre d’affaires de 15 milliards de francs CFA (22,9 millions d’euros) en 2018.
Ainsi, Paul Ouédraogo, de l’Apromab (la plus importante coopérative du Burkina Faso) souhaite la mise en place d’une structure plus légère que les circuits institutionnels actuels afin de prévenir la situation.
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