Comment faire face aux défis liés à la productivité agricole et la sécurité alimentaire en Afrique ? Les cultures OGM peuvent-elles être une réponse ? Comment assurer une diffusion sécurisée des cultures transgéniques et une bonne coexistence avec celles conventionnelles, non GM, dans le contexte ouest africain ? Quels avantages et inconvénients, certains pays comme Mali, le Togo, le Bénin et le Sénégal, ont-ils à rentrer de plein pied dans la culture des OGM ? Autant de questions d’importance au centre d’un atelier régional tenu à Bobo Dioulasso au Burkina Faso du 24 au 26 novembre 2010. Ce ne fut pas, comme d’habitude, une partie de prise de becs entre partisans et anti-OGM, au contraire, ce fut une assemblée menant la réflexion sur « les questions post-libération des cultures génétiquement modifiées : Gestion de la coexistence des cultures, Gestion de la résistance“