Les résultats d’une récente étude de l’IFPRI contestent l’idée reçue selon laquelle la volatilité des prix alimentaires en Afrique se serait accrue suite à la crise alimentaire mondiale et suggèrent que des facteurs internes aux pays pourraient davantage contribuer à la volatilité des prix en Afrique que les fluctuations des cours sur le marché international.