Selon cet article posté sur le blog pour la Souveraineté alimentaire de SOS Faim, alors que le gouvernement luxembourgeois et la BEI se félicitent des 11,7millions d’euros qui ont été mobilisés pour les projets de microfinance au cours de dix dernières années, les observateurs du secteur expriment des craintes face au processus de concentration en cours qui, de manière paradoxale, rend les services destinés aux plus pauvres de plus en plus inaccessibles aux plus déshérités.