The content bellow is available only in French.

publié dans Bulletins thématiques le 3 juin 2010

Bulletin de veille n°160 – Spécial « Quels instruments pour la régulation des marchés céréaliers en Afrique de l’Ouest ? »

Fanny Grandval

CéréalesRégulation des marchés

La hausse des prix mondiaux fin 2007-2008 a provoqué une crise d’accessibilité à l’alimentation des ménages, notamment les plus pauvres des pays en voie de développement ; elle a également poussé de nombreux États africains à relancer les productions céréalières locales. Si certains facteurs conjoncturels qui expliquaient le phénomène de flambée des prix semblent rentrés dans l’ordre, en revanche, la plupart des facteurs structurels qui animent les discussions sur le risque d’un déséquilibre alimentaire sur le moyen et long terme n’ont pas disparu. La crise alimentaire que traverse notamment le Niger aujourd’hui interroge une fois de plus sur les modalités nécessaires à une régulation des marchés céréaliers, qui permettraient à la fois d’assurer un revenu suffisant aux producteurs agricoles et un prix acceptable aux consommateurs vulnérables.

Dans un contexte international où la question de la régulation des marchés agricoles est plus que jamais inscrite à l’agenda politique et au programme de travail des coopérations, des organismes de recherche et des organisations socioprofessionnelles, et où les pays ouest africains réfléchissent à la mise en œuvre opérationnelle de politiques agricoles régionales prônant la souveraineté alimentaire, ce bulletin de veille spécial fait le point sur la documentation incontournable sur le thème de la régulation des marchés céréaliers en Afrique de l’Ouest.

Dans la partie introductive (partie 1) sont présentées quelques références récentes sur la situation des marchés céréaliers de la sous région, sur la nécessité de régulation, ainsi qu’une étude sur les instruments de gestion de l’instabilité des prix alimentaires (confiée au consortium Ecart). Les parties 2 et 3 font le point sur différents types d’instruments de régulation existants, classés selon leur mode de gouvernance – privés et publics, et selon leur objectif – stabiliser les prix ou gérer le risque lié au prix.

Ce bulletin de veille est aussi l’occasion d’engager le débat sur la thématique de la régulation des marchés céréaliers en Afrique de l’Ouest. Un forum de discussion électronique va prochainement être animé par Inter-réseaux sur ce thème. D’ici là, n’hésitez pas à partager vos commentaires, réflexions et ressources complémentaires !

Bonne lecture,

L’équipe d’Inter-réseaux Développement rural

Partie 1 – Les marchés céréaliers en Afrique de l’Ouest et la nécessité de régulation

La dynamique des échanges régionaux des céréales en Afrique de l’Ouest
B. G. Soulé, S. Gansari, MSU, mai 2010
Cette étude s’attache à déterminer et analyser la dynamique de la production des céréales en Afrique de l’Ouest, la dynamique des bassins de consommation, la dynamique des échanges régionaux des céréales et du niébé, et la dynamique du marché céréalier régional au plan institutionnel.
http://aec3.aec.msu.edu/fs2/srai/Dynamique_des_echanges_revue.pdf

Potentialités agricoles de l’Afrique de l’Ouest
R. Blein, B. Soulé, B. Faivre-Dupaigre, B. Yérima, février 2008
L’agriculture ouest-africaine dispose-t-elle d’un potentiel suffisant pour nourrir sa population et à quelles conditions ? La région peut-elle assurer la sécurité alimentaire d’une population qui doit doubler en 25 ans, sans un recours massif aux importations ? En croisant une analyse quantitative avec l’analyse des dynamiques et des trajectoires des agricultures dans leur diversité, cette étude identifie et discute quatre scénarios qui sont autant de contextes possibles pour les agricultures ouest-africaines au cours des 25 prochaines années. Il ressort de l’étude que les agricultures régionales peuvent à la fois répondre à la demande locale et se repositionner sur les marchés internationaux. Le développement de l’agriculture ouest-africaine nécessite une véritable stratégie ambitieuse d’intégration régionale, une union douanière avec des politiques commerciales qui permettent une réelle régulation des marchés intérieurs.

Améliorer le fonctionnement des marchés agricoles de l’Afrique de l’Ouest
B. Faivre-Dupaigre, P. Alary, R.Blein, B. Soulé, février 2008
Comment améliorer les échanges de biens agricoles au sein des pays de la Cedeao et entre celle-ci et l’Union européenne, pour que l’intégration régionale profite durablement aux agriculteurs africains et à l’économie dans sa globalité ? Cette étude traite des marchés agricoles en Afrique de l’Ouest : elle identifie les obstacles aux échanges et formule des propositions pour améliorer le fonctionnement du commerce agricole. L’amélioration des marchés repose sur une approche systémique qui renouvelle le partenariat entre les différents acteurs, notamment entre les administrations régionales et nationales, les organisations agricoles et la société civile, les bailleurs de fonds et les entreprises. Cette action systémique devrait mobiliser des investissements publics et privés. Le contexte est favorable : les marchés sont porteurs et les groupements paysans ont la volonté de transformer l’agriculture africaine.

Pratiques et nécessité de la régulation des marchés agricoles
J.-M. Boussard, H. Delorme et P. Fabre, avec la collaboration de J. Villain, Notes et études économiques n°27, avril 2007, pp. 31-55
L’instabilité des cours des matières premières fait peser sur les pays en développement des risques considérables dont les conséquences sont exacerbées par les politiques de libéralisation. La régulation des marchés s’avère nécessaire tant sur le plan économique que sous l’angle juridique. À ce titre, la mise en place de mécanismes régulateurs ne doit pas procéder d’une approche économiciste exclusive, mais doit intégrer les acteurs et leurs stratégies, ainsi que les spécificités de l’organisation des filières. En outre, la combinaison d’instruments de marché à gestion privée et publique et de mécanismes d’intervention est indispensable et doit s’accompagner, pour être efficace, d’un accord de coopération décliné à différents niveaux, y compris à l’échelle internationale.
http://agreste.agriculture.gouv.fr/publications/notes-et-etudes-socio-economiques/article/pratiques-et-necessite-de-la

Sur le même sujet :
Pour la régulation et la stabilisation des marchés agricoles
H. Delorme, J.M. Boussard, Grain de sel n°41-42
Jean-Marc Boussard et Hélène Delorme, co-auteurs d’un ouvrage sur la stabilisation des marchés agricoles, apportent un éclairage sur la question en Afrique de l’Ouest. À la lumière des évolutions de l’histoire, ils offrent ici un vibrant plaidoyer pour la régulation des marchés agricoles.
http://www.inter-reseaux.org/revue-grain-de-sel/41-42-l-agriculture-en-quete-de/article/pour-la-regulation-et-la

Comment gérer l’instabilité des prix alimentaires dans les pays en développement ?
F. Galtier, Cirad, novembre 2009
La crise alimentaire de 2007-2008 et les émeutes urbaines qu’elle a engendrées ont conduit à mettre la question de l’instabilité des prix alimentaires au cœur des débats. Cet article rappelle que, depuis les années 80, l’idée domine que la meilleure option consiste à gérer les risques sans « toucher aux prix » grâce à des instruments privés (assurance récolte, marchés à terme…) complétés par des filets de sécurité pour les populations vulnérables. Cependant, cette stratégie a mal supporté l’épreuve des faits : le développement des instruments privés de gestion des risques ne s’est pas produit et les filets de sécurité ne sont pas parvenus à enrayer la dégradation de la situation nutritionnelle des ménages vulnérables. Les arguments à l’encontre de la stabilisation des prix ne tiennent pas si on prend en compte la diversité des causes de l’instabilité des prix. L’article propose en outre une typologie des causes de l’instabilité. Outre l’instabilité d’origine « naturelle » (due aux aléas naturels affectant la production), l’instabilité des prix peut en effet être « importée » des marchés internationaux ou être « endogène », c’est-à-dire être générée par le fonctionnement des marchés eux-mêmes (bulles spéculatives, phénomènes de cobweb, etc.). Enfin, l’article montre que la performance des stratégies et instruments de stabilisation des prix dépend de manière cruciale des causes de l’instabilité. Il présente les politiques de stabilisation adaptées à chacune des causes d’instabilité.
http://www.cirad.fr/content/download/3807/30502/version/1/file/Prix_alimentaires_FGaltier_WP_4_2009.pdf

La nécessaire intervention publique pour stabiliser les prix
F. Galtier, Cirad, novembre 2009
Les émeutes urbaines engendrées par la flambée des prix de 2008 rappellent que l’instabilité des prix alimentaires peut avoir de graves conséquences sur la sécurité alimentaire à la fois à court terme (accès des consommateurs à la nourriture) et à long terme (incitation des producteurs à investir et à accroître la production). Or, de l’avis de nombreux spécialistes, cette instabilité devrait être durable tant sur les marchés internationaux que dans les PED. Que faire ? À partir de l’entre-deux guerres, la solution a été recherchée dans la stabilisation des prix par les pouvoirs publics, notamment en constituant des stocks. Dans les années 1980, la libéralisation des économies a conduit à privilégier la gestion des risques par des instruments privés (marchés à terme, options), complétés par des filets de sécurité pour les ménages vulnérables. Ces approches n’ont pas donné les résultats escomptés. Une mise à plat des instruments possibles pour traiter l’instabilité des prix alimentaires s’impose. Il en ressort quatre catégories, selon l’objectif (stabiliser les prix ou gérer le risque lié au prix) et le mode de gouvernance (basé sur le marché ou public).
http://www.google.fr/url?sa=t&source=web&ct=res&cd=1&ved=0CAYQFjAA&url=http%3A%2F%2Fwww.cirad.fr%2Fcontent%2Fdownload%2F3835%2F31004%2Fversion%2F3%2Ffile%2FPerspective2_Galtier_fr.pdf&ei=K_7eS6raA5SWsQbXuJ3DBw&usg=AFQjCNFAnoYBF8oZ3hIqksXGwAmMU9wtXw&sig2=maeun0GZA-dOZU4n20_gFw

Les parties suivantes présentent différents types d’instruments de régulation des marchés, classés selon le mode de gouvernance (basé sur le marché ou public) et l’objectif (stabiliser le prix ou gérer le risque lié au prix).

Selon le mode de gouvernance : – Des outils de régulation dont la gouvernance est à dominante privée : Certains d’entre eux sont mobilisés pour limiter les fluctuations de prix au cours d’une campagne agricole (variations intra-annuelles) : instruments de stockage et de crédit à la commercialisation (warrantage) ; marchés à terme (peu appropriés au contexte des filières ouest africaines), instruments de fluidification du marché, favorisant la connexion de l’offre et de la demande (bourses régionales de produits vivriers, développement des infrastructures de marchés, postes de douane juxtaposés, lutte contre les tracasseries douanières, systèmes d’information commerciale, etc.). D’autres instruments visent à réduire les fluctuations de prix sur plusieurs campagnes (variations interannuelles) : dispositifs interprofessionnels, observatoires des marchés, contractualisation, etc. – Des outils d’intervention publique : TEC, droits de douane, stocks d’intervention ou régulateurs, contrôle du commerce et des prix, banques de céréales, etc.

Selon l’objectif : – Ceux qui se proposent de limiter les effets négatifs de l’instabilité : contrats à terme, option d’achat ou vente, assurance récolte et climatique, instruments favorisant l’accès à l’alimentation des populations vulnérables (filets de sécurités, etc.) – Ceux qui cherchent à réduire les fluctuations de prix en elles-mêmes : on y distingue les instruments qui résultent d’une action collective mobilisant principalement des acteurs privés et les instruments qui relèvent de l’action publique.

Partie 2 : Des instruments de régulation des marchés à dominante privée

1- Pour stabiliser les prix

1.1 – Organisations de producteurs et organisations interprofessionnelles

Accès aux marchés et commercialisation des produits agricoles. Valorisation d’initiatives de producteurs
A. Lothoré, P. Delmas, Inter-réseaux, 2009
En Afrique subsaharienne, les paysans rencontrent des difficultés pour vendre leurs produits agricoles et en tirer un revenu : manque de débouchés, prix peu élevés et volatils, rapports de force défavorables… Pour autant, des paysans et leurs organisations paysannes (OP) s’organisent et développent des initiatives riches et variées pour améliorer les conditions de mise en marché, de négociation, de transaction, et ainsi mieux vivre de leurs activités. Un Groupe de travail animé par Inter-réseaux est parti de ces initiatives concrètes, trop peu connues. La construction de la réflexion collective lors de ce processus s’est faite i) en choisissant certaines de ces initiatives, jugées intéressantes à analyser et à partager, ii) en créant des espaces et supports d’échanges (visites, fiches, bandes sonores, vidéos, guides d’animation, etc.), et iii) en discutant et comparant ces expériences lors d’ateliers et forums. La première partie du document présente la démarche générale du Groupe de travail. La seconde partie, cœur du document, est composée de 15 fiches présentant chacune un type d’action lié à la commercialisation : des actions individuelles de paysans (bord champ ou dans les marchés de proximité), et des actions collectives menées par des OP, seules ou en liens avec d’autres acteurs de la filière (au niveau de plates-formes de concertation, d’organisations interprofessionnelles et/ou avec l’État). Chaque fiche présente des principes, exemples, intérêts et limites du type d’action analysé. La dernière partie tire les enseignements du processus d’analyse participative des initiatives locales. Elle souligne des facteurs d’échec ou de réussite des actions de commercialisation, et apporte des éléments de réflexion sur la démarche et les outils.
http://www.inter-reseaux.org/groupes-de-travail/commercialisation-de-produits/article/acces-au-marche-et

Des initiatives de producteurs pour mieux commercialiser
Inter-réseaux, 2009
Cet espace Internet rassemble diverses expériences de commercialisation de produits agricoles menées par des producteurs et leurs organisations, dans différents pays d’Afrique de l’Ouest et du Centre, et étudiées dans le cadre du Groupe de travail animé par Inter-réseaux. Ces expériences sont décrites et analysées sur différents supports : fiches de quelques pages, bandes sons, vidéos avec guides d’accompagnement…
http://www.inter-reseaux.org/groupes-de-travail/commercialisation-de-produits/article/des-initiatives-de-producteurs-et

Des fiches d’analyses thématiques sur la commercialisation
Inter-réseaux, 2009
Cette rubrique rassemble plusieurs fiches thématiques sur les organisations de producteurs (OP) et la commercialisation, la vente « bord champ », l’organisation du transport par l’OP, l’achat stockage par l’OP, l’accès au crédit pour mieux commercialiser, le warrantage, les bourses agricoles…
http://www.inter-reseaux.org/groupes-de-travail/commercialisation-de-produits/article/des-fiches-d-analyses-thematiques

Les organisations interprofessionnelles, des outils pour l’avenir des filières ?
Grain de sel n°44, Inter-réseaux, novembre 2008
En Afrique subsaharienne, les organisations d’acteurs au sein des filières agricoles – entre autres, les organisations interprofessionnelles -, se multiplient ces dernières années et suscitent un fort intérêt de la part des acteurs économiques des filières, des décideurs politiques et des partenaires au développement. Présentées par certains comme des outils efficaces permettant d’organiser les marchés, de structurer les filières et de faciliter les relations entre les acteurs privés et les pouvoirs publics, les expériences des organisations interprofessionnelles (OIP) restent pourtant encore mal connues, faiblement analysées, et peu partagées. Ce dossier de Grain de sel ambitionne de partager quelques éclairages sur ces formes d’organisations, et d’inciter à poursuivre les échanges et débats autour de ce thème. Pourquoi assiste-t-on à un tel engouement pour les OIP ? Quels ont été les facteurs à l’origine des OIP ? Dans quelles filières sont-elles apparues ? Avec quels acteurs, pour quels objectifs, avec quels résultats, et surtout in fine, au bénéfice de qui ? Après un panorama des OIP en Afrique de l’Ouest selon une approche historique, ce dossier présente quelques cas concrets d’OIP au Burkina Faso, en France, à Madagascar et au Sénégal. Pour finir, il conclut sur la diversité, les enjeux et les conditions de succès des OIP.
http://www.inter-reseaux.org/revue-grain-de-sel/44-les-organisations/

1.2 – Instruments de stockage (banques de céréales, warrantage)

Séminaires sur les stocks alimentaires : stabilisation des marchés, pouvoir de marché des producteurs et sécurité alimentaire
CSA, IATP, Oxfam Solidarité, juin 2010
En collaboration avec IATP et Oxfam Solidarité, le CSA a organisé les 1ers et 2 juin 2010 un séminaire sur les stocks alimentaires. L’objectif de ce séminaire était de réunir des organisations de producteurs, des ONG, des chercheurs et des fonctionnaires des agences gouvernementales et internationales autour d’un dialogue sur les composantes nécessaires pour promouvoir le stockage à différents niveaux. Retrouvez les synthèses des journées et les différentes présentations.
http://www.csa-be.org/spip.php?page=art-seminaire&id_mot=182&id_article=713

Les stocks de proximité : enjeux, opportunités et limites : le cas des pays du Sahel
R. Blein, Bureau Issala
La crise alimentaire induite par la hausse des prix a relancé le débat sur la régulation des prix et la sécurité d’approvisionnement des populations. C’est ainsi que le stockage est revenu sur le devant de la scène. Le stockage villageois ou communautaire a toujours constitué une préoccupation centrale des populations sahéliennes, des institutions et des acteurs de la coopération internationale. Apparemment simple, le stockage de proximité n’en est pas moins extrêmement complexe à gérer. En témoigne la proportion importante de greniers collectifs ou de banques de céréales vides à l’approche de la soudure.
http://www.bureau-issala.com/Fichiers/Note%20stocks%20proximite.zip

Les banques de céréales
Fiche documentaire, Afrique verte, 2008
La banque de céréales villageoise est une réserve de céréales, constituée au moment des récoltes et gérée par une organisation paysanne villageoise, conservée et stockée en vue d’être revendue à un prix compétitif aux membres de l’organisation lorsque les céréales deviennent rares et chères sur le marché national.
http://www.afriqueverte.org/r2_public/media/fck/File/Documentation/DocsAV/Fiche_Banques_cereales.pdf

Étude sur les banques céréalières dans les zones d’intervention d’Afrique verte au Niger
Afrique Verte, 2006
Cette étude retrace d’abord l’historique des banques céréalières (BC) au Niger, avant d’établir une typologie des BC et d’analyser différents aspects du cycle de gestion des BC. Trois documents pédagogiques ont été conçus à l’issue de l’étude en guise d’appui méthodologique aux promoteurs et aux bénéficiaires : un canevas de mise en place d’une BC, un guide d’animation et un manuel de formation spécifique aux BC.

Annexe 2 : Guide d’animation pour le bon fonctionnement d’une banque de céréales : http://www.afriqueverte.org/r2_public/media/fck/File/Documentation/Outils_information/Annexe%202%20%20Guide%20Animation.pdf
Annexe 3 : Guide de formation des responsables de banques de céréales http://www.afriqueverte.org/r2_public/media/fck/File/Documentation/Outils_information/Annexe%203%20%20Module%20de%20formation%20BC.pdf

Le warrantage ou « crédit-stockage » : un moyen pour les paysans de mieux valoriser leurs produits et une sécurisation du financement rural
C. Beaure d’Augère. – Afdi, Inter-réseaux, CTA, 2007. – 17 p.
Le crédit-stockage (ou crédit warranté) est un crédit dont la garantie est constituée par le stock mis sous clé des produits récoltés. Il permet aux producteurs d’avoir accès à un crédit tout en gardant leurs produits, et à l’IMF d’accroître la sécurité du crédit. Ce document apporte des éclairages sur les mécanismes, points clés de réussite, résultats, risques et limites du warrantage. Dans le processus, les OP peuvent assumer plus ou moins de fonctions, ce qui n’est pas sans conséquence car le crédit-stockage est une opération risquée. Des exemples pris au Ghana, à Madagascar et au Niger permettent d’illustrer les propos.
http://www.inter-reseaux.org/IMG/pdf/Warrantage_Afdi_IR_2007-2.pdf

Le warrantage au Niger, pour renforcer la trésorerie des paysans
D. Marchal, Grain de sel n°49, mars 2010
Le warrantage, ou « crédit-stockage », est une technique qui permet aux paysans de mieux valoriser leurs produits agricoles tout en sécurisant le financement rural. Il connaît un franc succès au Niger, où il a été introduit il y a plus de 10 ans.
http://www.inter-reseaux.org/revue-grain-de-sel/49-agriculture-et-aleas/article/le-warrantage-au-niger-pour

Sur le même sujet :
Revue du warrantage paysan au Niger
J. Coulter, S. Mahamadou, AFD, sur le site du RECA Niger, décembre 2009
Cette étude passe en revue les pratiques de warrantage mises en œuvre au Niger depuis 1999 par la FAO et d’autres acteurs. Elle en tire un bilan pour les décideurs et les praticiens, et propose des actions pour développer cette activité.
http://www.reca-niger.org/IMG/pdf/Etude_Coulter_Warrantage_Rapport_final_Janv_2010.pdf

1.3 – Instruments de fluidification des marchés (systèmes d’information de marché – SIM, bourses agricoles)

Le “paradoxe” des SIM : une clef de lecture issue de l’économie institutionnelle et de la théorie de la communication
F. Galtier, J. Egg. – UMR Moisa, 2003. – 25 p.
Le but de cet article est d’expliquer pourquoi les systèmes d’information de marchés – SIM (qui ont connu un véritable « boom » dans les années 80 dans les secteurs agricoles d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine) n’ont pas eu l’impact attendu sur la performance des marchés. Le faible impact des SIM « de première génération » s’explique soit par des faiblesses techniques, soit par la mauvaise articulation des SIM avec les systèmes de communication incarnés par les marchés eux-mêmes.
http://www.inter-reseaux.org/IMG/pdf/Article_SIM__MOISA_Galtier_Egg.pdf

Fonds documentaire sur les SIM
Inter-réseaux
Cet espace web met à disposition de nombreux documents sur les systèmes d’information de marchés en Afrique de l’Ouest.
http://www.inter-reseaux.org/ressources-thematiques/dispositifs-d-information-sur-les/

Les impacts de la téléphonie mobile sur le fonctionnement des marchés en Afrique subsaharienne
Jenny C. Aker, in Secteur Privé et développement : la revue de Proparco, 4 novembre 2009
En Afrique subsaharienne, l’utilisation de la téléphonie mobile a des impacts positifs sur le fonctionnement des marchés locaux de biens de consommation. Une étude menée au Niger montre en effet que la téléphonie mobile permet une diminution des coûts ainsi qu’un accès à un plus grand nombre de marchés pour les négociants, ce qui entraîne une harmonisation et une réduction des prix souvent favorables au consommateur. Ces résultats semblent être cohérents avec ceux obtenus dans d’autres pays en développement. Ils permettent ainsi de tirer quelques leçons pour améliorer l’impact des technologies de l’information sur le développement économique.
http://www.google.fr/url?sa=t&source=web&cd=1&ved=0CB4QFjAA&url=http%3A%2F%2Fwww.proparco.fr%2Fjahia%2Fwebdav%2Fsite%2Fproparco%2Fusers%2Fadministrateur%2Fpublic%2FProparco%2FRevue-secteur-prive-et-developpement%2FArticles%2FJenny-C-Aker-Center-for-Global-Development-Les-impacts-de-la-telephonie-mobile-sur-le-fonctionnement-des-marches-en-Afrique-subsaharienne.pdf&ei=OeEMTNiQIZ2W4gbv1sGaAQ&usg=AFQjCNHuREjNidG96G9WY9ojdG9q-0IYBw&sig2=ersUNHXYCv482pMnFfylMQ

Fonds documentaire sur les bourses agricoles
Inter-réseaux
Cet espace web met à disposition de nombreux documents sur les bourses agricoles
http://www.inter-reseaux.org/mot/bourses-agricoles
Notamment une vidéo sur l’organisation des bourses céréalières au Mali : http://www.inter-reseaux.org/groupes-de-travail/commercialisation-de-produits/article/video-bourses-au-cereales-au-mali
Et le guide d’accompagnement de la vidéo : http://www.inter-reseaux.org/IMG/pdf_Guide_Bourses_Cereales_final.pdf

2- Pour gérer le risque lié au prix

Assurance des récoltes dans les pays en développement
FAO, novembre 2005, 63 p.
Cette publication dresse un panorama des assurances récolte et foresterie dans les pays en développement et décrit le processus de planification de l’assurance récolte.
http://www.fao.org/ag/Ags/subjects/fr/ruralfinance/pdf/InsuranceCrops_fr.pdf

Les marchés à terme agricoles en Europe et en France
Notes et études économiques n° 30, ministère français de l’Agriculture et de la Pêche, mars 2008
Cet article étudie la possibilité de couverture du risque de prix offerte par les marchés à terme et leur utilisation par les agriculteurs. Après une brève revue de l’ensemble des risques pouvant affecter l’activité agricole, la première partie de l’article se focalise sur le risque de marché, autrement appelé risque de prix. Face au risque de prix, les agriculteurs disposent d’une panoplie d’instruments, dont font partie les marchés à terme. La deuxième partie de l’article met en lumière le principe de ces marchés et décrit les conditions de leur utilisation en tant qu’instrument de couverture du risque de prix par les agriculteurs. L’intérêt essentiel des marchés à terme est de garantir au producteur un niveau de marge pouvant être fixé en amont du processus productif, indépendamment des éventuelles diminutions de prix pouvant affecter les marchés. La dernière partie de l’article dresse un état des lieux de l’utilisation des marchés à terme agricoles en France et explique les raisons pour lesquelles celle-ci est restée assez limitée jusqu’à une période récente. Face à ces constats, l’article s’achève sur des propositions visant à développer l’implication des pouvoirs publics dans la promotion des marchés à terme.
http://agreste.agriculture.gouv.fr/publications/notes-et-etudes-socio-economiques/article/les-marches-a-terme-agricoles-en

Partie 3 : Des instruments publics de régulation

1- Pour stabiliser les prix

Mise en place d’un stock régional alimentaire : une action du réseau des sociétés, commissariats, offices chargés de la gestion des stocks de sécurité alimentaire au Sahel et en Afrique de l’Ouest (Resogest)
Cilss, 2010
Le texte constitutif du Resogest a été adopté et validé en février 2010. Le Resogest a pour objectif d’assurer une disponibilité constante d’un stock de produits alimentaires pour les interventions d’urgence au niveau régional, de renforcer les capacités des structures nationales de gestion des stocks, de faciliter les échanges des disponibilités des vivres entre les acteurs, de rendre disponible pour les acteurs une information de qualité sur les stocks publics, les stocks privés, les stocks paysans, les appels d’offre ainsi que les prix des marchés.
Diaporama de présentation du dispositif à l’occasion du Séminaire sur les stocks alimentaires qui s’est déroulé les 1er et 2 juin 2010 : http://www.csa-be.org/IMG/pdf_Amadou_Konate.pdf
Compte rendu de la réunion des responsables des sociétés, commissariats, offices chargés de la gestion des stocks nationaux de sécurité alimentaire du 24-26 février 2010 à Dakar : http://www.cilss.bf/IMG/pdf/Compte_Rendu_RESOGEST_version_finale_02-03-2010.pdf

Revue et analyse des mesures engagées à court et moyen terme en réponse à la hausse des prix alimentaires en Afrique de l’Ouest
B. G. Soulé, R. Blein, FARM, 2008
Cette étude réalise une revue des différentes mesures prises par les gouvernements d’Afrique de l’Ouest pour faire face à la crise alimentaire de 2008. Deux types de mesures ont été adoptés : réduction des coûts de l’alimentation et relance de la production de céréales (principalement le riz). Les institutions régionales et internationales se sont aussi mobilisées pour appuyer les États qui ont montré une forte volonté politique de soutenir l’agriculture. L’étude souligne que les mesures d’urgence sont à compléter par des actions plus structurelles.
http://www.fondation-farm.org/IMG/pdf/confprix_lares_resume_mp.pdf

La régulation du marché de l’oignon au Sénégal
I. Wade, Grain de sel n°48, décembre 2009
Au Sénégal, la production locale d’oignon était fortement concurrencée par les importations, surtout au moment des pics de récolte. Des concertations au sein d’un « comité oignon », initié par l’Agence de régulation des marchés, permettent de réduire cette concurrence, grâce à un gel temporaire des importations.
http://www.inter-reseaux.org/revue-grain-de-sel/48-mecanisation-et-motorisation/article/la-regulation-du-marche-de-l

Régulation des marchés agricoles au Sénégal : entre arbitrage et gestion concertée
A. A. Fall, G. Duteurtre, I. Wade, Grain de sel n°41-42, mai 2008
Au Sénégal, l’émergence d’interprofessions est encouragée par la législation. Elle prévoit de leur confier davantage de prérogatives dans la gestion des marchés. Si l’État conserve son rôle d’arbitre, la légitimité des politiques repose sur une « co-construction » de règles entre services publics et organisations privées.
http://www.inter-reseaux.org/groupes-de-travail/organisations/article/regulation-des-marches-agricoles

Quels outils de régulation pour relancer la riziculture au Sénégal ?
P. Baris, Grain de sel n°48, décembre 2009
Face à la situation de variabilité brutale des prix du riz importé et local sur le marché de Dakar, la question de la mise en place d’outils de régulation de marché est plus que jamais d’actualité. Contenter producteurs et consommateurs tout en se prémunissant des aléas de prix et de taux de change est un défi à relever.
http://www.inter-reseaux.org/revue-grain-de-sel/48-mecanisation-et-motorisation/article/quels-outils-de-regulation-pour

Sur le même sujet :
Étude sur la compétitivité du riz de la vallée du fleuve Sénégal sur les marchés nationaux et régionaux
N. Gergely, P. Baris, AFD, Octobre 2009, 97 p
Cette étude s’attache d’abord à analyser les filières riz au Sénégal : riz local et riz importé, demande en riz du Sénégal, commercialisation du riz de la vallée du fleuve Sénégal. Puis elle dégage les conditions d’accroissement de la production rizicole au Sénégal et propose des actions en terme de politique fiscale et tarifaire, et de commercialisation du riz.
http://www.inter-reseaux.org/ressources-thematiques/article/etude-sur-la-competitivite-du-riz

Efficacité des politiques de stabilisation des prix alimentaires en Afrique subsaharienne : le cas du Mali
F. Galtier, L. Diakité et S. Diarra, FARM, novembre 2009
Suite à la crise énergétique et alimentaire de 2007-2008 (qui s’est traduite par une flambée des prix sur les marchés internationaux), les différents pays d’Afrique de l’Ouest ont pris des mesures visant à modérer l’augmentation des prix des produits alimentaires de base (principalement céréales, farine, lait en poudre, sucre, huile alimentaire et viande) et du carburant. Cette étude vise à évaluer l’efficacité de ces mesures pour le cas des céréales au Mali.
http://www.fondation-farm.org/IMG/pdf/conference09_resumemali.pdf

L’État sénégalais veut-il réguler du vent ?
M. Gueye, Défis Sud n°83, juillet 2008
Les réalités du marché ont fait comprendre aux autorités que l’on ne peut pas facilement fixer les prix de certains produits agricole. Il est donc plus facile de réguler le prix de l’oignon, abondant au pays, que du riz ou du mil, dont les sénégalais manquent cruellement.
http://www.sosfaim.be/pdf/publications/defis_sud/83/senegal_prix_aliment.pdf

2- Pour gérer le risque lié au prix

La gestion des risques appliquée à l’aide publique au développement : la nécessité d’une politique globale de gestion des risques
Anna Lipchitz, NEE n°30, mars 2008, pp. 125-146
Les pays en développement sont, comme les pays développés, soumis à des chocs externes aux causes multiples. Cependant, compte tenu de leur très forte dépendance aux recettes d’exportation de quelques matières premières, ces chocs peuvent être d’une ampleur considérable pour leur équilibre économique et budgétaire. Les projets exposés, pilotés par l’AFD, démontrent la nécessité de gérer les risques selon une politique globale, mobilisant une palette d’outils. La gestion du risque se révèle alors fondatrice d’une politique publique sectorielle par les conditions qu’impose sa réussite : formalisation d’une organisation professionnelle et de cadres de concertation entre acteurs, adoption par les acteurs productifs de paquets technologiques et de référentiels techniques. Néanmoins, sa couverture ne peut être qu’indemnitaire, conséquence du préjudice commis. Même si les filets de sécurité ou les autres outils de gestion des risques sont alimentés par le budget de l’État ou l’aide internationale, la gestion des risques ne peut être que contracyclique. La réduction de la pauvreté, l’encouragement à la croissance économique ou le maintien de revenus agricoles ne peuvent être l’objectif des politiques de gestion des risques. Il y a là des réflexions communes à mener, alliant pays en développement et pays développés.
http://www.google.fr/url?sa=t&source=web&cd=2&ved=0CBsQFjAB&url=http%3A%2F%2Fagriculture.gouv.fr%2Fmediatheque%2FIMG%2Fpdf%2Flipchitz-nee30-tap.pdf&ei=u_UNTMWRGITz4gbe8siUDA&usg=AFQjCNEdyTRquK_tgF9kBS-DvAXm_EjwmA&sig2=LHm0ICgVAan23bm_vlrE1w

Le ciblage des politiques de lutte contre la pauvreté : quel bilan des expériences dans les pays en développement ?
E. Lavallée, A. Olivier, L. Pasquier-Doumer, A.-S. Robilliard. Mars 2009
Dans un contexte de ressources budgétaires limitées et suite au constat que la croissance et l’aide publique au développement ne bénéficiaient pas forcément aux pauvres, la communauté internationale a eu recours à des outils spécifiques permettant d’atteindre en priorité les pauvres. Le ciblage des politiques de lutte contre la pauvreté est l’un de ces outils. Cet article vise à dresser un bilan des expériences de ciblage menées dans les pays en développement. Il cherche pour cela à dégager les facteurs de réussite ou d’échec de ces expériences et fait le point sur les questions qui font toujours débat.
http://www.google.fr/url?sa=t&source=web&cd=1&ved=0CBUQFjAA&url=http%3A%2F%2Fwww.dial.prd.fr%2Fdial_publications%2FPDF%2FDoc_travail%2F2009-03.pdf&ei=owUOTLOECIq64QbfxKiIDA&usg=AFQjCNHtlCvv8GLk4bqXX0VzfnOjIEjVRw&sig2=88A2tHPR8ge1smVbPoinEA

Filets alimentaires de sécurité et autres programmes similaires
B. Lorge Rogers, J. Coates, Septembre 2002
L’introduction aux filets sociaux de sécurité de la Banque mondiale a pour but de fournir une ressource pratique aux personnes impliquées dans la conception et la mise en oeuvre de programmes de filets sociaux de sécurité dans le monde. Les lecteurs y trouveront des informations sur les meilleures pratiques avec un éventail d’interventions dans différents pays, de thèmes et de groupes cibles, mais aussi la philosophie actuelle des spécialistes et des praticiens sur le rôle des filets sociaux de sécurité dans le cadre de l’agenda plus large du développement. Ce document présente les différents types d’outils de gouvernance publique permettant de soutenir le revenu des ménages en période de prix alimentaires élevés.
http://www.google.fr/url?sa=t&source=web&cd=2&ved=0CB4QFjAB&url=http%3A%2F%2Ftric.ru%2Ffiles%2F2006%2F01%2F18%2FCD-Rom%2520Content%2Fpdfs%2FPapers%2FFrench%2FFood-based_BRogers_fr.pdf&ei=svsNTN_8B5CK4ga8kZjFDA&usg=AFQjCNERUF-1Kv12bAIIeNpGkQIfJLbBHg&sig2=sNFN7uAsllhUWecSwSZamQ

Transferts monétaires conditionnels : réduire la pauvreté actuelle et future
A. Fiszbein et N. Schady, Banque Mondiale, 2009.
La crise financière mondiale de 2008 et ses conséquences potentielles sur le niveau de vie de la population des pays en développement ont suscité un regain d’intérêt pour les dispositifs de protection sociale. Des mesures adaptées peuvent en effet constituer un investissement avisé dans un monde où règne l’incertitude. Ce rapport fait le bilan des données dont on dispose sur les transferts monétaires conditionnels (TMC), ces systèmes de protection sociale qui ont fait de nombreux adeptes dans les pays en développement depuis une dizaine d’années. Il conclut que, de façon générale, les TMC ont permis de réduire la pauvreté et d’encourager les parents à investir dans la santé et l’éducation de leurs enfants.
http://www.google.fr/url?sa=t&source=web&cd=1&ved=0CBUQFjAA&url=http%3A%2F%2Fsiteresources.worldbank.org%2FINTCCT%2FResources%2F5757608-1234228266004%2FCCTS-Overview-French.pdf&ei=FwQOTLiXEJmN4gbq9vSVDA&usg=AFQjCNFhWcK2BwojqUwI5XvN3c3tZEo-mQ&sig2=1Rd_D9pk23xS0xuk7EqBjQ

Transferts monétaires et aide alimentaire : un premier inventaire
U. Gentilini, PAM, 2007
Les transferts monétaires ont certes un rôle important à jouer pour lutter contre l’insécurité alimentaire mais, à l’heure actuelle, on se demande s’ils sont plus adaptés dans certains contextes que, par exemple, les transferts alimentaires. Le présent document a pour objectif de démêler les divers aspects du débat “argent ou produits alimentaires” afin de discerner les points de controverse et de montrer qu’il est nécessaire d’adopter une approche plus pragmatique, plus équilibrée et adaptée à chaque situation. Le message qu’il entend faire passer, notamment, est qu’il n’est pas possible de déterminer à l’avance quelle méthode sera la plus appropriée dans la mesure où les objectifs des programmes, les aspects économiques de la consommation alimentaire, l’analyse des marchés, la maîtrise des coûts et l’efficience économique, les besoins de capacités et les préférences des bénéficiaires sont autant de facteurs qui ont un rôle à jouer pour décider quelle option ou panoplie d’options sera la plus adaptée.
http://www.google.fr/url?sa=t&source=web&cd=1&ved=0CBUQFjAA&url=http%3A%2F%2Fone.wfp.org%2Fpolicies%2FIntroduction%2Fother%2FDocuments%2Fpdf%2FOP_18_French.pdf&ei=9f8NTN3RLIKh4Qak1cSRDA&usg=AFQjCNEuRGLVrtIt1_a16CZxE3j7eP2XJA&sig2=BR1ep_nxLJ-o9260KbcF4A

Pour aller plus loin

Visitez le fonds documentaire sur la régulation des marchés céréaliers :
http://www.inter-reseaux.org/ressources-thematiques/regulation-des-marches-cerealiers/

Bulletin de veille coordonné par l’équipe d’Inter-réseaux.
Remerciements particuliers pour leur participation à : Arlène Alpha (Gret), Delphine Babin (MAEE), Pierre Baris (consultant), Nicolas Bricas (Cirad), Jonathan Coulter (consultant), Jean Denis Crola (Oxfam France), Laurent Deniau (CEDEAO), Mathilde Douillet begin_of_the_skype_highlighting     end_of_the_skype_highlighting begin_of_the_skype_highlighting     end_of_the_skype_highlighting (Farm), Benoit Faivre Dupaigre (MAEE), Johny Egg (Inra), Frank Galtier (Cirad), Amadou Konate (Cilss), Gabriel Pons Cortès (Intermon Oxfam), Jean François Sempéré (Iram), Didier Simon (AFD), Sébastien Subsol (Cilss), Bruno Vindel (AFD), Idrissa Wade (consultant), Anne Wagner begin_of_the_skype_highlighting     end_of_the_skype_highlighting (Ministère du Commerce du Sénégal)
Inter-réseaux, le 3 juin 2010
Avec le soutien de : Direction Générale de la Coopération au Développement, Ministère des Affaires Etrangères (Belgique), Ministère des Affaires Etrangères (Luxembourg), SOS Faim Belgique et SOS Faim Luxembourg

Restez informé⸱e !

Abonnez-vous à nos publications et bulletins pour les recevoir directement dans votre boîte mail.

  • Ce champ n’est utilisé qu’à des fins de validation et devrait rester inchangé.

Autres articles qui pourraient vous intéresser