Constatant que dans de nombreux pays en développement la remise en cause des outils traditionnels d’administration des marchés n’a généralement pas sensiblement amélioré les résultats des filières concernées, l’article s’interroge sur les formes d’organisation et de régulation qui permettraient de faire émerger des modes de coordination efficients, équitables et durables, en s’appuyant sur l’exemple du coton en Afrique. Notes et études économiques n°23, 25 pages, 212 Ko