L’agriculture tunisienne pâtit d’une sous-exploitation de son potentiel, de l’inefficience des subventions et d’une sous-valorisation de produits de terroir, pourtant de grande qualité. A titre indicatif, l’huile d’olive, tout comme le vin, sont exportés en vrac sans aucune valeur ajoutée. Ce sont là les principales conclusions d’une étude stratégique sur le secteur menée à l’initiative du gouvernement tunisien avec le concours, notamment, de la Banque mondiale et l’Agence française de développement (AFD).