Dans l’ensemble des pays étudiés, à part quelques cas particuliers, la concurrence des importations ne semble pas le problème essentiel auquel les producteurs sont confrontés. Le principal facteur limitant semble généralement l’absence de capital : une amélioration des infrastructures par la fourniture de biens publics, des investissements dans l’aménagement des périmètres agricoles, dans l’éducation et la santé permettraient sans doute une amélioration significative de la sécurité alimentaire. Ce constat plaide pour un renforcement des politiques publiques dans les pays en développement, dont les politiques de soutien à l’agriculture, dans le respect des contraintes de l’OMC. Le résumé compte13 pages. Le document complet est également disponible par chapitre ou intégralement.