Forte d’un rendement annuel de plus de 400 000 tonnes, la production nigérienne d’oignon traverse pourtant un moment de stagnation ces dernières années du fait essentiellement de l’absence d’une certification aux normes et standards de qualité établis au niveau du marché international. D’après cet article, la recherche est la base fondamentale pour la démarche de normalisation et il lui est demandé qu’elle accompagne à travers la mise en place des semences, la production elle-même, le stockage, l’emballage, le transit et la commercialisation. Gros travail en perspective!