En Afrique, c’est principalement pour des raisons d’environnement incertain que l’agriculture pâtit de sous-investissement. Alors que l’Asie a tiré profit de la “révolution verte”, dans les années 1950 et 1960, grâce aux engrais et à la sélection variétale, l’Afrique est passée à côté, faute d’impulsion politique notamment. Les investissements ont été jugés non rentables, tant par les experts internationaux que les gouvernements, et l’aide au développement s’est détournée vers la santé et l’éducation.