La diffusion du progrès technique restait très lente et le sous-développement des campagnes quasi-général avec un système de vulgarisation descendant fonctionnant souvent « comme si les uns “savaient” et les autres “ne savaient rien”… sans la participation active des agriculteurs concernés… Des agriculteurs ayant envie d’expérimenter des solutions nouvelles ont constitué alors des petits groupes. Cette présentation pourrait concerner beaucoup de pays. C’est l’histoire de ces groupes d’agriculteurs qui ont pris le nom de centre d’études techniques agricoles (Céta)afin de prendre en main la vulgarisation dont ils avaient besoin (France).