Rien de moins certain ! Les chercheurs et les ingénieurs agronomes en charge de favoriser le développement durable dans les divers pays du Tiers-Monde sont donc invités à revoir complètement leurs démarches en matière de recherche agronomique et de promotion de nouvelles techniques agricoles ; en commençant déjà par ne plus prétendre que la priorité serait toujours l’“amélioration variétale” et la promotion d’organismes génétiquement modifiés.