Les prescriptions de démocratie et de bonne gouvernance visant les pays du Sud sont légitimes mais influent peu, de manière directe, sur le développement. Les politiques de coopération affichent un bilan tout aussi mitigé. On pourrait progressivement en revenir, à l’aide des grandes institutions internationales et de la Banque mondiale, à des références plus déterminantes pour le développement : l’irrigation, le développement de la productivité agricole, les travaux d’infrastructures.(14 p, pdf 570k)