Les problèmes que connaît le continent africain le rendront d’autant plus vulnérable au réchauffement climatique, indique le dernier rapport du groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (Giec). Le continent auquel incombe le moins la responsabilité de cette catastrophe annoncée devrait compter sur ses ressources, déjà fort limitées, pour en juguler les effets. « Une baisse de la production agricole risque de multiplier les famines. Le blé pourrait même disparaître en 2080 de cette partie du monde. »