Koffi Annan a annoncé le lancement d’un plan par 6 agences des Nations unies visant à aider le continent africain à bénéficier des projets dans le cadre du mécanisme de développement propre, qui pour le moment a profité aux trois quarts à la Chine et à l’Inde. La ligne de fracture entre pays du Nord et pays du Sud n’a pas disparu. Un processus lent. Tant bien que mal, la conférence de Nairobi a rempli ses maigres ambitions : établir un plan de travail et des dates butoir pour l’après-Kyoto, avancer sur les mesures d’adaptation et de soutien aux pays en développement en s’accordant sur plusieurs dispositifs techniques ou méthodologiques.