Les gouvernements ouest-africains poursuivent depuis plus d’une décennie un tarif extérieur commun (TEC), qui appliquerait des taux tarifaires à des marchandises dans quatre catégories au lieu des milliers des catégories qui sont actuellement utilisés. L’ajout d’une cinquième bande tarifaire avec un niveau plus élevé fait actuellement débat. « L’on a envie de protéger les agriculteurs mais cela doit être contrebalancé par le besoin de produits alimentaires à la portée de la bourse des consommateurs ».